Avec Landry Gicquiaux
Durant ces deux jours, vous découvrirez la technique de la pointe sèche, de l’aquatinte et du Chine-collé.
Durant ces deux jours, vous découvrirez la technique de la pointe sèche, de l’aquatinte et du Chine-collé.
matin
découverte, exercices avec l’encre et le papier et les outils de texturage
après-midi
réalisation d’un sujet commun en pas à pas et pratique sur sujets personnels pour les non-débutants
matin
réalisation d’un monotype sur un sujet commun tirage à la presse
pratique personnelle en monochrome
après-midi
monotype associant 2 encres de couleurs différentes tirage manuel ou à la presse
matin
monotype sur sujet libre tirage à la presse et chine-collé
après-midi
pratique et problématiques personnelles
« L’association l’Abbadiale accueille, jusqu’au 30 décembre, une exposition qui fait la part belle à la pierre. Peintures représentant des cailloux et sculptures de marbre… Pour une matière froide, elle ne laisse pas de glace ! La preuve en découvrant l’exposition de Danièle Gay, peintre, qui donne vie aux cailloux, et Yves Bescond, qui donne forme au marbre ! Issue du milieu montagnard, Danièle Gay dessine très jeune en gardant les brebis de ses parents… »
« Danièle Gay vit à Lescun, dans les Pyrénées.
Après des études d’art à Pau et à Avignon, elle s’installe dans son village natal. Elle puise dans les paysages de montagne son inspiration, en retient des formes, des ambiances qui font écho à sa mémoire, à son imaginaire.
La peinture à l’huile et le pastel sec sont les techniques des premières années. Depuis 2006, elle explore l’encre de chine, rehaussée parfois d’huile de lin, de brou de noix, de fusain ou de sable. La lumière est un élément essentiel, mettant en valeur l’atmosphère particulière de chaque peinture. Ses peintures évoquent la trace du temps, des temps, parfois fuyante des bords de gave, presque immuable sur les pierres, plus visible sur les silhouettes d’arbres…. »
daniele-gay-disabau.odexpo.com
« Embarqué à 19 ans sur un bateau de commerce pour faire le tour du monde, Yvon Bescond décide de s’installer à Saint-Béat à son retour. Il y découvre les carrières de marbre, commence à s’intéresser à cette matière noble. Grâce au Festival de la sculpture et du marbre de Saint-Béat, Yvon Bescond rencontre de nombreux sculpteurs et il se lance lui-même dans la taille de la pierre en 2003. C’est alors pour lui une révélation. «Je ne cherche pas un style, tout m’inspire, dit-il. D’un bloc brut, j’aime jouer avec ses formes, ses couleurs, ses transparences, me défaire du surplus jusqu’à lui trouver une légèreté et une sonorité presque cristalline. C’est une recherche permanente de mobilité, de mouvement, que la sculpture paradoxalement ne soit pas de marbre». Il est très inspiré par le nu féminin dont il sait extraire toute la grâce et l’élégance. » Nathalie Noguès